Un symbole, celui de la femme libre incarnée par Juliette Gréco
Un symbole... Celui de la femme libre, incarnée par Juliette Gréco, jamais vulgaire, toujours élégante, grâcieuse, légère et profonde à la fois, désinvolte, insolente...
Si elle a pris quelques rides, la jolie môme n'a pas vieilli en esprit. Malgré ses soixante ans de carrière, elle respire toujours la fraîcheur du Saint Germain des Prés des années Sartre, son caractère rebelle et révolutionnaire, profondément subversif. Elle qui a obtenu le record des chansons interdites par la censure dans les années d'après-guerre. Elle qui chante aujourd'hui du Abd Al Malik sans complexe.
"Y a des gens qui prennent des substances hallucinogènes, d'autres qui prennent des choses pour s'énerver. Moi, je prends l'autre", nous confie-t-elle dans un reportage d'Envoyé spécial, qui lui est consacré : http://envoye-special.france2.fr/index-fr.php?page=reportage-bonus&id_article=1820. "En ce moment, je trompe la mort. J'en ai rien à foutre", ajoute-t-elle, toujours aussi taquine et mutine, "mais la vieillesse, c'est pas mal non plus".
Je rêve de vieillir comme elle.
Si elle a pris quelques rides, la jolie môme n'a pas vieilli en esprit. Malgré ses soixante ans de carrière, elle respire toujours la fraîcheur du Saint Germain des Prés des années Sartre, son caractère rebelle et révolutionnaire, profondément subversif. Elle qui a obtenu le record des chansons interdites par la censure dans les années d'après-guerre. Elle qui chante aujourd'hui du Abd Al Malik sans complexe.
"Y a des gens qui prennent des substances hallucinogènes, d'autres qui prennent des choses pour s'énerver. Moi, je prends l'autre", nous confie-t-elle dans un reportage d'Envoyé spécial, qui lui est consacré : http://envoye-special.france2.fr/index-fr.php?page=reportage-bonus&id_article=1820. "En ce moment, je trompe la mort. J'en ai rien à foutre", ajoute-t-elle, toujours aussi taquine et mutine, "mais la vieillesse, c'est pas mal non plus".
Je rêve de vieillir comme elle.